Strasbourg toujours

Cela dit, trêve de plaisanterie, je retournerai bien à Strasbourg ce week-end, quand-même. Pour la big brocante de la Krutenau ! P'têt' qu'on y retrouvera ce mignon duo, aperçu aux aurores au déballage dominical de la Place de l'Etal... Mais il faudrait faire aussi le détour par le beau-bo déballage de printemps parigot de la Rue de Bretagne. Amstramgram, pic et pic, aladelidelo, mais où ira donc la volvo ce week-end ?

Vintage, vintage.

J'ai trouvé ! La prochaine fois, pas de Sak'ado, je fais mon shopping directement pendant le voyage... (sûr que ce débardeur a au moins l''âge de mon auto). Et puis après, je fais un blog comme elle !

Ascension

Allez, pour l'Ascension, je passe à l'Est. Paraît que çà grimpe. Mais avec ces satanés caprices de la météo, je ne sais vraiment pas quoi emporter dans mon sac à dos. "Sak'ado, sak'ado, repeat after me" would say...

Art de la table

Et tandis qu'on s'active en cuisine, le couvert est déjà dressé Au Temps des Cerises. Qui, ce week-end déménage aussi sa marchandise à l'Ecurie. Décidemment, en mai, çà bouge.

Art de la maison

SAV Maisons d'hôtes. Le Domaine du Canalet, maison d'art où l'on pouvait dormir, déménage. C'est la vie qui va. Et qui va là, en Arles. Si l'on ne loge pas dans la galerie ensoleillée de My Taylor is Rich, on pourra juste surfer sur son site web décalé, ou aller voir insitu des artistes comme lui, créateur [normand] d'un bestiaire enchanteur (des sangliers, des p'tits ânes sculptés enrubannés dans de la toile de jute, trop chouettes pour mon salon !). Quant à savoir si la belle cuisinière Aga et les cuivres du Domaine ont aussi déménagé...

Les Puces de Montsoreau

Il y a des événements auxquels on ne pense qu'au dernier moment. Tiens par exemple, ce dimanche, demain, le rendez-vous mensuel des Puces de Montsoreau. Déballage sur les bords de Loire et dans les rues du village pour le plein de broc "nature et jardin" à l'annonce. On pense déjà à s'attarder chez Yannick Lafourcade - où loge cette jolie sirène au teint bien rose - et à bruncher à La Marine de Loire, et on se dit... qu'il est temps de partir !

Volvo forever

Mais de quelle couleur est-donc cette fameuse auto ? On l'imaginerait bien en vert de gris, sang de boeuf, ciel d'orage ou beige clair, lamelle de champignon ou coeur d'artichaud... pour un beau coordonné avec les murs mats de la maison. Mais non. C'est une authentique VVCF (vert volvo, cuir fauve). Pour tout savoir, absolument tout, enfin presque, sur cet objet roulant, il suffit de se plonger dans la petite bible écrite par Thomas Moralès, publiée en mars chez ETAI (l'éditeur spécialiste de l'auto) : "Le Break Volvo 240 de mon Père". Il y décortique plaisamment le mythe du coffre ambulant... "Infatigable, il nous a fait découvrir la dune du Pyla, l'aiguille creuse d'Etretat [...], il a le parfum de l'enfance et des souvenirs à la réglisse". Et même qu'il dit que c'est une voiture écolo. Trop beau ! En plus y a plein plein de photos dedans, comme un bouquin de déco.